Internet Sans Frontières accueille avec soulagement la décision du Conseil Constitutionnel du 18 juin 2020, qui censure partiellement la Loi dite Avia, contre les contenus haineux sur Internet. Selon la plus haute juridiction française, l’obligation faite aux plateformes numériques de supprimer dans un délai de 24 heures les contenus “manifestement illicites”, sous peine d’une amende
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Ethiopie : La nouvelle loi contre la haine en ligne est une conséquence de l’action limitée des plateformes contre les contenus haineux en Afrique
Internet Sans Frontières s’inquiète vivement de l’adoption par l’Éthiopie de la loi contre les propos haineux et la diffusion de fausses informations sur les réseaux sociaux, et s’alarme de l’impact que cette loi pourrait avoir sur le débat public dans ce pays. L’adoption de ce texte controversé, près de deux mois après la réception du
Tchad : La surveillance contre la haine sur Internet
Internet sans Frontières appelle les autorités tchadiennes à reconsidérer le renforcement du contrôle et de la surveillance des Réseaux sociaux, annoncé par le Gouvernement tchadien dans un communiqué publié en août 2019. Le gouvernement précise que cette mesure vise à lutter contre, la cybercriminalité, le cyberharcèlement, et la “mauvaise utilisation des réseaux sociaux” en général.
Accès VPN et Conférence: Actions contre 365 jours sans réseaux sociaux au Tchad
Paris 27 mars 2019 – Internet Sans Frontières et ses partenaires tchadiens et internationaux réunis autour de la coalition #Maalla_Gatétou (NDLR: Pourquoi avez-vous coupé en arabe tchadien) lancent une série d’actions ce 28 mars 2019 pour commémorer un an de coupure des réseaux sociaux au Tchad, pays d’Afrique Centrale dirigé par Idriss Déby Itno depuis
FIFAfrica 2018: taxes sur les réseaux sociaux et coupures Internet au cœur des discussions
Du 26 au 28 septembre 2018 se tenait à Accra la 5è édition du Forum on Internet Freedom in Africa (FIFAfrica), auquel participait Internet Sans Frontières. J’ai eu le privilège d’y représenter l’association. Co- organisé par le Collaboration on International ICT Policy for Eastern and Southern Africa, un organisme consultatif indépendant, et la Media Foundation
Tchad : révélations sur l’étendue de la censure des réseaux sociaux
Paris, le 1er octobre 2018 – Alors que la censure des réseaux sociaux se poursuit au Tchad, Internet sans frontières intensifie ses efforts pour permettre leur rétablissement. L’organisation s’est associée à NetBlocks, une entreprise d’innovation sociale spécialisée dans la mesure de la censure en ligne, afin de recueillir des preuves techniques sur le bridage de
Bénin: Government repeals social media tax
The presidency of the Republic of Benin has announced the repeal of a tax adopted on July 25, which specifically targeted the use of social networks. For several weeks, Internet Without Borders denounced the repressive nature of this social media tax alongside many organizations of Beninese civil society. Surprising and ironic, it is by using
Bénin: Taxer les réseaux sociaux entrave la liberté d’expression et l’économie numérique
PARIS, 28/08/2018 – Internet Sans Frontières s’inquiète vivement de l’introduction d’une taxe sur la consommation des services de communication électronique fournis par les réseaux ouverts en République du Bénin. Les nouvelles taxes seront prélevées par l’opérateur ou le fournisseur d’accès à Internet ayant délivré le service, puis seront ensuite versés au trésor public. Le décret
Tchad: Consultation publique sur la censure des réseaux sociaux
Le Tchad est le pays le plus enclavé du continent Internet aujourd’hui. Internet Sans Frontières lance une consultation électronique publique avec le concours de notre partenaire technique Netblocks, afin de déterminer le niveau de censure que subissent les internautes de ce pays. Nous collecterons ainsi des preuves techniques irréfutables de la censure des réseaux sociaux.
Mali: Le réseau Internet restreint à la veille du second tour
Paris (11/08/2018) – Le réseau Internet Malien connaît de nombreuses anomalies depuis le vendredi 10 août 2018. Après de nombreuses plaintes et témoignages d’internautes résidant à Bamako ou à Gao dans l’est du pays, nous avons contacté nos partenaires techniques pour obtenir des données sur l’état du réseau. Alerte les réseaux sociaux encore une fois